Jamais la Belgique n’avait connu un agenda aussi chargé avec quinze rencontres disputées.
2016, année mouvementée pour des Diables rouges qui ont bouclé, hier, avec la réception de l’Estonie au stade Roi Baudouin, leur programme avant de reprendre, fin mars 2017, ce cursus menant à la Coupe du Monde 2018. Entre joie et détresse, il y en a eu pour tous les goûts.
Après la désillusion de l’Euro, la nouvelle équipe dirigeante de la Maison de Verre, composée du trio Bart Verhaeghe-Chris Van Puyvelde-Mehdi Bayat, a rapidement acté la nomination de Roberto Martinez au poste d’entraîneur. Une option payante puisque le coach catalan a doté les Diables rouges d’un bagage tactique plus riche tout en transformant tous ses essais lors des éliminatoires de la Coupe du Monde 2018 (quatre succès en autant de rendez-vous dans le groupe H).
Bien que décriés par les supporters, plusieurs joueurs se sont aussi affirmés au travers d’un parcours individuel significatif. On songe avant tout à Romelu Lukaku, tête de Turc privilégiée des fans, qui a terminé l’année avec onze réalisations en quatorze rencontres disputées. La moitié de ses goals avec la Belgique (vingt-deux) a été marquée cette année, tout simplement!
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